Le Clézio et Pierre Rabhi

Ce soir, c'était la grande librairie avec Le Clézio et Pierre Rabhi. Deux vies qui ont leurs différences et leurs ressemblances.
Et je me remets en question, en fait je pourrais être heureuse mais je suis collée aux événements passés et je veux juger ce que je ne comprends pas ...
Je retiens la sobriété heureuse, titre d'un livre de Pierre Rabhi que je n'ai pas lu.
Je vois bien que mon problème c'est de ne pas supporter la solitude ( mais je ne peux pas inviter à la maison les sans abris car ça ne marcherait pas ) ; il faut un minimum de ressemblance pour travailler ensemble.
Chacun a son chemin à parcourir mais si on veut avancer il faut de l'aide, vais-je la chercher chez ces écrivains et peut-être aussi chez les gens simples.
Mais mon autre problème c'est que mon carburant pour vivre ce n'est pas l'ambition mais c'est l'affection.
Quand à l'autolimitation, elle est certainement bénéfique mais il est vrai qu'on ne peut pas vivre sans amour et que tout le monde veut vivre ce rêve même si c'est très difficile.
Et il n'est jamais trop tard pour vivre ce que l'on a pas réussi dans le passé.