22 février 2014
Victor Hugo
Passer pour un honnête homme, c'est dur. Maintenir toujours cela en équilibre, penser mal et parler bien, quel labeur !
Avec tout ce noir qu'on broie en son cerveau composer de la candeur, vouloir dévorer ceux qui vous vénèrent, être caressant, se retenir, se réprimer, toujours sur le qui-vive, se guetter sans cesse, donner bonne mine à son crime latent ....
Il y a un moi démesuré dans le fourbe ...
Enfin l'heure avait sonné. Clubin se vengeait.
Le voulez-vous charmant, regardez-le, le voulez-vous horrible, retournez-le.
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